Avant de devenir un écrivain à la mode, Zakhar Prilepine a été vigile dans une boîte de nuit, manutentionnaire, engagé volontaire dans les deux guerres tchétchènes… Il a également été responsable régional du Parti national-bolchévique jusqu’à son interdiction par l’actuel pouvoir : on imagine aisément qu’une telle vie ne manque pas de matière romanesque. Au point d’ailleurs qu’il apparaît dans la galerie de personnages du Limonov d’Emmanuel Carrère, fasciné par la Russie. Mais, justement, qu’est-ce que ces chaussures pleines de vodka chaude nous donnent à voir de cet immense pays ? Critique à lire sur la Cause littéraire.
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